Zélie - Peu d’images
[Paroles de "Peu d'images"]
[Couplet]
Ça fait longtemps qu't'es parti, qu't'as disparu du paysage
Y'a comme une pellicule qui défile quand j'me r'fais l'film
Et trop peu d'images de toi
Alors j'regarde les autres, les gens dans la rue sur les terrasses, dans les soirées
Et si j'les trouve cons, c'est qu'je conscientise absolument tout
Même le fait de voltiger au-dessus de l'existence
Et des conversations qui еlles, ne m'intéressеnt plus le moins du monde
Mais ça va, la plupart du temps j'arrive à m'y fondre, j'sais pas si les autres font semblant
Parfois aussi, j'essaye de redescendre de ma planète et d'retrouver la simplicité d'mon insouciance partie avec toi
Envôlée, comme si j'l'avais assez embrassée, enlacée, follement aimée
Comme si c'était elle mon premier amour, ma nuit d'été
Elle me manque comme un ami qui n'te lâche pas la main parce qu'il vit presque dans ton corps
Jusqu'à c'qu'il parte parce qu'il t'en veut
Est-ce qu'il est mieux sans toi, ou est-ce qu'il a juste pris un autre chemin ?
Du coup, faut vivre seule, et porter l'poids d'son propre corps qui a toujours besoin d'exulter comme l'enfant qu't'as été
Mais qui n'peux plus se faire porter par d'autres qui vont te faire espérer
Ça fait vraiment bizarre de voir le vide que laissent les gens qui partent
De voir que les fantômes sont partout, qu'ils sont par terre comme sur les murs, dans la fumée d'ma cigarette
Ça fait longtemps qu't'es parti
[Couplet]
Ça fait longtemps qu't'es parti, qu't'as disparu du paysage
Y'a comme une pellicule qui défile quand j'me r'fais l'film
Et trop peu d'images de toi
Alors j'regarde les autres, les gens dans la rue sur les terrasses, dans les soirées
Et si j'les trouve cons, c'est qu'je conscientise absolument tout
Même le fait de voltiger au-dessus de l'existence
Et des conversations qui еlles, ne m'intéressеnt plus le moins du monde
Mais ça va, la plupart du temps j'arrive à m'y fondre, j'sais pas si les autres font semblant
Parfois aussi, j'essaye de redescendre de ma planète et d'retrouver la simplicité d'mon insouciance partie avec toi
Envôlée, comme si j'l'avais assez embrassée, enlacée, follement aimée
Comme si c'était elle mon premier amour, ma nuit d'été
Elle me manque comme un ami qui n'te lâche pas la main parce qu'il vit presque dans ton corps
Jusqu'à c'qu'il parte parce qu'il t'en veut
Est-ce qu'il est mieux sans toi, ou est-ce qu'il a juste pris un autre chemin ?
Du coup, faut vivre seule, et porter l'poids d'son propre corps qui a toujours besoin d'exulter comme l'enfant qu't'as été
Mais qui n'peux plus se faire porter par d'autres qui vont te faire espérer
Ça fait vraiment bizarre de voir le vide que laissent les gens qui partent
De voir que les fantômes sont partout, qu'ils sont par terre comme sur les murs, dans la fumée d'ma cigarette
Ça fait longtemps qu't'es parti
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